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Sujets : bistrot • Boulogne-sur-Mer • Canon Eos 60D • France • Photo de rue • Street Photography
Un signe à tous ceux qui prennent la peine encore de visiter cette zone. Adepte de l’absence ces temps-ci : ça se passe loin des ondes virtuelles, ça se passe surtout dans la vraie vie et sur l’indécent parcours d’obstacles qu’elle nous impose. Ici, ça se passait à Boulogne où, nostalgique de temps plus cléments, je me suis avisé de focaliser un peu ma vision du monde en compagnie d’amis fidèles : Lavazza et Gitane.
- Où : Boulogne-sur-Mer, Place Danton.
- Quand : 24 mars 2014.
- Appareil : Canon Eos 60d.
Ah ça fait du bien ! Tant cette photo que de brèves nouvelles de beaux moments !
L’art de se faire désirer et de revenir en beauté.
Hey Marco !
Et ben dis-donc, je commençais à me demander où tu était passé?! Si si, je déconne pas!
Salut Marco !
Injures un jour… : quel titre ! Un titre révélateur de l’activisme outrancier de notre classieuse Société. Et la finesse de ce -s- signifiant le difficile, mais si réel pluriel injurieux du quotidien. Le pluriel l’écrit : assez !
J’ai longtemps pensé que l’insulte constituait un argument final, de celui qui ne trouve plus rien à dire et ne dispose plus d’arguments. Et puis, j’ai changé d’avis, -les discours changent, selon les contextes sociaux-, et m’aperçois que ce faisant, j’assimilais l’injure à l’argumentation et me positionnais dans l’équivoque, non ?
Il semblerait que la tendance soit à l’injure. L’injure monte en tension vers la violence verbale, mais aussi vers la violence physique, psychologique, économique, etc. L’injure serait-elle devenue un sport de combat, une dynamique sociale des échanges ? Il ne se passe pas un jour sans que soit retenue une injure. Un personnage politique vis-à-vis d’un autre, -nulle besoin de vivre une période électorale-, une affaire qui fait la une de toute presse confondue, une conversation banale ou formalisée, etc. Et le dictionnaire, de plus en plus égoïste de littérature, recense, définit et donne, de ce fait, du sens aux injures. À fortiori de constater que les insultes font partie intégrante de nos actuelles pratiques sociales et de nos rituels conversationnels. Et nus subissons, comme du monument immobilisé, nous subissons les injures -à l’air du temps-.
Ta photo ? L’-ombrette- de la cuillère à café me plait particulièrement. Elle s’évoque dans la lumière.
Je suis RAVIE de te retrouver sur ton blog, Marco.
…insultes toujours?
On n’a pas à prendre la peine de la visiter cette zone, on te visite c’est tout. Ce qui peut faire peine c’est de ne plus t’y voir, ou de te deviner dans la débine.
Dans la débine, mais toujours toi – c’est bien toi qu’on retrouve, et qu’on espère retrouver encore, ici.
Vivre tue.
Ta pdc aussi, elle tue…
Marco tu m’as manqué!
Ne restes pas aussi longtemps absent.
Excellent retour. Welcome back!
Parfait, j’apprécie la PdC.
Bonne fin de semaine.
Yvon.
Où as-tu pris cette superbe photo ? Très beau texte !